La Millième chasse aux livres #64

La Millième chasse aux livres #64

Notre chasse aux livres repart de plus belle

Puisqu’un second livre sera abandonné

Demain, Jeudi 14 décembre.

Et n’oubliez pas, notre Chasse Spéciale Noël

C’est ICI jusqu’au dimanche 17


La Millième chasse aux livres #64

By Miss Aline

Avec Aline on rejoint les Haut de France

Chez nos amis Picards

Dans le département de la Somme

Nous nous rendons dans la troisième ville du département par sa population.

Situé dans la vallée de l’Ancre.

 dans la commune d’ Albert

Albert est située au nord-est du département de la Somme, au centre de la région Hauts-de-France, à 28 km à l’est d’Amiens et 33 km au sud d’Arras ainsi qu’à environ 45 km de Cambrai, 50 km de Saint-Quentin, 75 km de Lille et 130 km de Paris à vol d’oiseau selon wikipedia.

 

 

 

Quelques repères historiques sur Albert
Non, l’histoire d’Albert n’a pas commencé avec la Première Guerre mondiale ! Reconnue en tant que commune dès 1178, elle a plus d’un souvenir à vous raconter.
 
L’origine de la cité remonte pour le moins à l’époque romaine. La ville primitive était située alors sur la chaussée Brunehaut, principale voie romaine du Nord de la France.
Jusqu’en 1620, Albert s’appelle Ancre
La Lourdes du Nord  
  Au XIème siècle, un berger découvre une statue de la Vierge dans un champ. Le culte de cette vierge miraculeuse devient très vite célèbre

A la fin du XIXème siècle, un curé-bâtisseur, rêve pour Albert d’un sanctuaire digne de l’ancienneté du pèlerinage et adapté à l’accroissement de la population.

La construction de la Basilique commence en 1884. C’est le seul édifice albertin qui sera reconstruit à l’identique après la guerre. Des pèlerinages y sont toujours organisés, plus particulièrement en mai et septembre.
La Guerre 14-18 :
 L’armée allemande entre dans Albert le 29 août 1914, après la Victoire de la Marne. La ville est reprise le 13 septembre. Le front se stabilise à 3 km d’Albert.
Le ville sera totalement détruite par les bombardements successifs des allemands puis des anglais.
Elle sera reconstruite en les année 20 et 30 

Et c’est en Face de l’emblématique Basilique

Notre Dame de Brebières

Que sera abandonné notre livre.

Le livre justement !

 La faux soyeuse de Éric Maravélias.

Je suis couvert de sang mais je suis bien. Rien à foutre. Dans l’univers cotonneux et chaud de la défonce opiacée, le sang n’est rien. La mort n’est rien. Et moi-même je ne suis rien. Joies et chagrins se succèdent dans une espèce de brouillard confus, un ballet macabre, et rien ne subsiste de tout cela, sinon parfois, au détour du chemin, un sentiment de gâchis irréversible qui me prend à la gorge. Nos vies de parias sont comme de frêles esquifs privés de gouvernails. Sans plus personne à bord. Elles sont ballottées au creux de flots tourmentés, secoués par des vents inconnus et changeants qui les mènent à leur gré vers des côtes plus ou moins hospitalières, incapables que nous sommes de changer ne serait-ce que la moindre virgule au récit chaotique de nos existences.  »

Retrouvez ICI l’entretien de l’auteur avec Miss Aline ainsi que son avis sur la Faux soyeuse

 

 

 

29 réflexions sur “La Millième chasse aux livres #64

Répondre à Collectif Polar : chronique de nuit Annuler la réponse.