Le livre : Et les vivants autour de Barbara Abel – Paru le 05 mars 2020 chez Belfond dans la collection Thriller. 19 € ; (448 pages) ; 14 x 22 cm
4ème de couverture :
Voilà quatre ans que l’ombre de Jeanne plane sur eux.
Comme s’ils n’avaient plus le droit de vivre pour de vrai tant qu’elle était morte pour de faux.
Cela fait quatre ans que la vie de la famille Mercier est en suspens. Quatre ans que l’existence de chacun ne tourne plus qu’autour du corps de Jeanne, vingt-neuf ans. Un corps allongé sur un lit d’hôpital, qui ne donne aucun signe de vie, mais qui est néanmoins bien vivant. Les médecins appellent cela un coma, un état d’éveil non répondant et préconisent, depuis plusieurs mois déjà, l’arrêt des soins. C’est pourquoi, lorsque le professeur Goossens convoque les parents et l’époux de Jeanne pour un entretien, tous redoutent ce qu’ils vont entendre. Ils sont pourtant bien loin d’imaginer ce qui les attend. L’impensable est arrivé. Le dilemme auquel ils sont confrontés est totalement insensé et la famille de Jeanne, en apparence si soudée, commence à se déchirer autour du corps de la jeune femme…
Après Je sais pas et Je t’aime, le nouveau thriller de Barbara Abel dissèque à la perfection la psychologie et les émotions en montagnes russes des personnages qui gravitent autour du corps de Jeanne, inerte et si présent à la fois.
L’auteur : Née en 1969, Barbara Abel vit à Bruxelles, où elle se consacre à l’écriture. Pour son premier roman, L’Instinct maternel (Le Masque, 2002), elle a reçu le prix du Roman policier du festival de Cognac. Aujourd’hui, ses livres sont adaptés à la télévision, au cinéma, et traduits dans plusieurs langues. Et les vivants autour est son treizième roman.
Extrait
– De quoi voulez-vous que ça parle ? D’amour, bien entendu !
– Bien entendu, répète-t-elle en hochant la tête.
Micheline sourit. Elle connaît la passion qui unissait sa fille à Jérôme. Jeanne disait souvent que son cœur n’avait commencé à battre que le jour où elle avait rencontré Jérôme. Jérôme disait toujours que le jour où il avait vu Jeanne pour la première fois, son cœur s’était arrêté. Entre eux, ce fut le coup de foudre, le vrai, celui qui n’existe que dans les romans. Celui que les mots ne peuvent décrire. Celui qui ne se raconte ni ne s’explique. Celui qui se vit
Une histoire en apparence simple, mais c’est sans compter sur le talent de Barbara Abel… j’ai adoré !
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Oh merci Nath pour ce petit commentaire très avisé 😉 🙂
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J’ai rattrapé mon retard de lecture de chroniques, je pense que finalement le confinement me pèse plus que ce que j’avoue, car je n’ai pas approché le blog ou ce qui s’y rapporte depuis un moment… mais ça fait plaisir de retrouver vos bons conseils 😁
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Je te comprends, moi j’arrive plus à lire aussi vite. Je prends mon temps et du coup je lis moins que je ne le voudrais.
Mais pour le blog pas le choix, il faut que j’y travaille tout les jours. Les flingueuses poussent derrière, et je dois bien mettre en page nos articles et autres chroniques.
Et puis il y a aussi notre cadavre exquis qui n’occupe pas mal aussi ainsi que mes légistes.
Et un grand merci à Toi de nous rester fidèle malgré le contexte. Des bisous
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Ma fidélité est toute acquise 😁 Il me faudrait bien une équipe pour me pousser aux fesses… 😉
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Et après c’est moi que l’on traite de tortionnaire ! lol
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😂
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hihi 😛
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Bon, yapuka ! J’ai du retard aussi dans mes Abel.
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Alors oui Yapuka
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Une histoire tragique qui sans doute contient quelques secrets!
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je viens de le terminer, j’ai adoré, lu en apnée…
je découvre l’auteure avec ce roman donc je vais continuer 🙂
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Oui tu peux, c’est une excellente auteure
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Merci pour ce joli retour de « Les P’tits Papiers de So ». On parle beaucoup et en bien du dernier Barbara Abel. Je le note 🙂
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