Livre Paris,19 mars 2016 : Mon petit tour 1/2

 

$$sdl$$$

Hier je vous parler de la polémique qui enfle autour du nouveau salon du livre de Paris, Livre Paris. Mais comme j’ai la chance de pouvoir participer gratuitement à cette fête du livre, je vais vous raconter un peu ma journée. Je pense que c’est surtout cela qui vous intéresse….

$sdl&Et bien tout à commencer dans le Tram porte de Vincennes. Faire porte de Vincennes à porte de Versailles, avouez que c’est un voyage royal. Et là en plus, je l’ai fait avec mon petit padawan. Nous nous étions données rendez-vous afin de profiter de cette journée ensemble. C’était le premier salon de livre de Paris de Juju alors en tant que son maître Jed Aïe, (oui c’est mon nom), je me devais de la guider.

Donc nous sommes arrivées peu après l’ouverture, les allées du salon était encore très praticable en ce samedi matin.  Après nous êtes équipée d’un plan nous avons entamé nos pérégrinations.

$sdl$La première rencontre que nous ayant faite fût Viviane Moore. Cela tombait bien car Anne Ju ne connaissait pas cette auteure. Alors Viviane a gentiment présenté ses différents polars.

$sdl$$$$$$Pour ma part j’ai déjà lu quelques unes des aventures de Galeran de Lesneven et puis surtout  « La saga de Tancrède le normand » ainsi que sa trilogie celte.  $sdl$$$$$

Du coup nous sommes reparties avec sa nouvelle série  Alchemia. Et nous nous sommes promis de nous revoir sue le prochain SMEP pour parler de tout ça !

 $sdl$$$$$$$La femme sans tête

Paris, 1581. La misère envahit les rues. Orgies et fêtes enfièvrent les salons. Jean de Moncel, jeune commissaire au Châtelet, est sur les traces d’un tueur de prostituées. Le corps décapité de l’une d’elles le mène jusqu’à Théophraste Le Noir, médecin qui, replié dans son laboratoire avec sa fille Sybille, cherche sans relâche le secret alchimique de l’Élixir de Vie. Sorcellerie? Rites occultes ? Machination ?… L’alchimiste est-il le monstre que poursuit Jean, ou bien l’humaniste en avance sur son temps que défend passionnément sa fille ?

Viviane Moore signe un thriller historique  dans l’univers de l’alchimie médicinale au XVIe siècle.

Après avoir aussi échanger quelques mot avec Jean D’aillon nous nous sommes rendues auprès de François Xavier Dillard et Anne Laure Béatrix. François Xavier étant pris d’assaut par quelques groupies, oui nous avons croisé les mordus de lecture, j’en ai profité pour discuter avec Anne Laure que je ne connaissais pas. J’ai été séduite par sa façon de me présenter le travail à 4 mains pour l’écriture de Austerlitz 10.5 et j’en ai appris aussi un peu plus sur la genèse de ce titre.

$sdl&&&&&


Imaginez un monde où la Joconde a disparu…

En 1810 la Seine avait atteint lors de la grande crue de Paris son niveau maximal : 8.62 mètres sur l’échelle hydrométrique du pont d’Austerlitz.
Aujourd’hui, la pluie tombe depuis trois jours dans la capitale. Les trois premiers jours les habitants de la grande ville ont râlé. Et puis, le soir du quatrième jour, l’alimentation électrique a été coupée. La plupart des arrondissements ont alors connu un black-out total faisant souffler un vent de panique sans précédent dans la population. Le métro a été fermé. L’ensemble du vaste réseau sous-terrain des transports publics s’étant retrouvé noyé par des hectolitres d’eau sombre $sdl$$$$$$$$et glacée. Lorsque les premiers immeubles se sont effondrés et que la grande vague de boue a déferlé sur la ville, une véritable hystérie collective s’est emparée des parisiens et les pires exactions ont été commises. Au nom de la survie… La peur, puis la violence ont déferlé sur la ville.
Paris est dévastée et la plupart des habitants, du moins ceux qui ont la chance d’avoir encore un toit, se terrent chez eux en attendant que cette pluie démentielle cesse enfin…Sous le pont d’Austerlitz l’eau a atteint son record : 10.50.  Un an plus tard, on sait que Paris ne sera plus jamais la même. Pour François Mallarmé qui a tout perdu dans cette catastrophe, sa femme et son enfant, la vie n’est qu’un long cauchemar. Il continue tant bien que mal à faire son boulot de flic dans une ville où plus rien n’a de sens. Jusqu’au jour où une affaire de meurtres sordides le ramène à son cauchemar, au coeur même du Louvre, dans ce musée qui pour le monde entier était le symbole de ce qui fut la plus belle ville du monde, et où même la Joconde a disparu….

$$sdl$$$$$$$ Nous nous sommes rendues sur le stand du Livre de poche. Là nous y avons vu Romain le Fakir comme l’appelle Anne Ju. (Yvan nous avons eu nous belle pensée pour toi ).

Romain Puertolas et L’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea. Un voyage low-cost … dans une armoire Ikea ! Une aventure humaine incroyable aux quatre coins de l’Europe et dans la Libye post-Kadhafiste. Une histoire d’amour plus pétillante que le Coca-Cola, un éclat de rire à chaque page mais aussi le reflet d’une terrible réalité, le combat que mènent chaque jour les clandestins, ultimes aventuriers de notre siècle, sur le chemin des pays libres.

Notre Fakir signait à coté de notre Jacques Saussey. Jacques que je savais pouvoir retrouver un peu plus tard sur le stand des éditions Atelier Mosésu. Rendez vous fut donc prix pour un verre de chablis avec toute la bande de Sébastien Mousse vers midi.

$$sdl$$$$$$

Alors pour finir cette matinée, Anne Ju m’a proposé d’aller à la rencontre de ces copines Elyssea Di Marco et Sylvine Hugé des éditions Max Lansdalls. Très sympa c’est trois là même si leur publication ne sont pas pour moi.

C’est au détour de ce stand que je suis tombée sur mon ex camarade du Comité de lecture Polar, mon amie Catimini Plume à la recherche d’une maison d’édition de Haïku. Si, si c’est possible. Catherine écrit de formidable haïku, c’est grâce à elle que j’ai pris goût à cette forme de poésie très courte.

$sdl$$   $sdl&&&Embrassades et papotages terminés, nous nous sommes rendu chez les Atelier Mosésu; midi $sdl$$$venait de sonner ! Direction le stand de la Normandie. Et…Là la belle surprise, Sandra Martineau et Didier Fossez entourer Stanislas Petrosky.  Nouvelles embrassades, discussion, le ton est donné, on est la pour se marrer.  Et puis sont arrivés Ludovic Miserole, Maxime Gillio et Samuel Sutra qui a réussi à me surprendre et me faire peur. C’est tellement rare qu’il faut que se soit signalé. Enfin quelques autres copines blogueuses sont arrivées et là  avec Sanmatha, Stef et Fred ça a été Chablis pour toute le monde puisque Jacques Saussey nous avez rejoint.

Le site des Atelier Mosesu ICI

Juste un regret, ne pas avoir croisé les Manook qui visiblement sont arrivée juste après que nous ne soyons parties. Françoise j’emprunte ta photo pour illustrer mon propos. Et en plus c’est de ma faute car je commencer sérieusement à avoir fain.  Il était 14h00 et j’avais petit dej à 05 heure du mat.

Bon alors la suite de notre après-midi demain donc !

Et pour retrouver le compte-rendu de mon petit padawan c’est ICI sur ses Motordus d’Anne Ju

$sdl&&

copyright Françoise Manoukian

61 réflexions sur “Livre Paris,19 mars 2016 : Mon petit tour 1/2

  1. J’ai eu la chance de rencontrer Romain Puértolas aussi, et c’était top ! Il était vraiment sympa.

    Je voulais vous contacter depuis longtemps, mais je n’ai pas réussi, donc je le fais ici, même si je suis d’accord sur le fait que ce n’est pas l’endroit…
    En tant que blogueuse j’organise un challenge qui met à l’honneur tous les thrillers et les polars pendant le mois d’avril… Ca vous intéresserait ?

    Aimé par 2 personnes

    • Oh merci d’avoir penser à moi.
      Je sais pas si je vais être à la hauteur et surtout si je vais arriver à trouver le temps, mais….
      Expliquez moi, je verrais 😉
      Mon profils Facebook : Geneviève Van Landuyt. Si pour vous c’est plus facile.
      Et merci d’être passé par là 🙂

      J’aime

Vous avez la parole, laissez un commentaire, ça fait toujours plaisir.