Le livre : Eunoto : Les noces de sang de Nicolas Feuz . Paru le 17 octobre 2017 chez BookEdition. Deuxième tome de la pentalogie massaï. 391 pages
4ème de couv.
Il lui promit de l’aimer pour le meilleur et pour le pire, sachant que seul le pire les attendait. Il lui promit de l’aimer jusqu’à ce que la mort les sépare. Mais pas au-delà.
Le Monstre de Saint-Ursanne est-il victime d’une erreur judiciaire ? Qui sont ces jeunes filles décapitées, dont les corps ont été trouvés au château de Valangin et au barrage de Schiffenen ? Pourquoi un gendarme genevois a-t-il été tué devant les HUG ? Jeune inspecteur de la police neuchâteloise, Michaël Donner trouvera-t-il des réponses en ville de Lausanne ou dans le domaine skiable des Quatre Vallées ? Quand l’enquête sur un tueur en série prend une dimension romande et requiert la mise en oeuvre de l’entraide intercantonale…
L’auteur : Né en 1971 à Neuchâtel, Nicolas Feuz est titulaire du brevet d’avocat et exerce dans la magistrature judiciaire neuchâteloise (Suisse). Il s’est lancé dans l’écriture de romans noirs en 2010. Sortie en février 2013, la « trilogie massaï » (Ilmoran, Ilayok et Ilpayiani) a aussitôt recueilli les faveurs du public et des médias. S’en sont suivis un thriller ésotérique (La septième vigne, novembre 2013), un prequel à la trilogie (Emorata, pour quelques grammes de chair, octobre 2014) qui a remporté le Prix du Meilleur Polar indépendant 2015 au Salon du Livre de Paris, un roman policier dont l’action se situe en Corse entre 1943 et 2015 (Les Bouches, octobre 2015), un thriller entre festival de musique et Laponie finlandaise (Horrora borealis, octobre 2016), et enfin le lien final entre Emorata et la trilogie (Eunoto, les noces de sang, octobre 2017).
Extrait
Quelque part en Suisse romande, le 19 marsLe cauchemar de l’homme était récurrent, comme un film tournant en boucle devant ses yeux. Machinalement, son bras montait, descendait, puis balayait de droite à gauche, en vaporisant une couche de peinture sur le mur. Une odeur nauséabonde régnait dans la pièce sombre.
Il devait faire disparaître toute trace du passé sur ce maudit mur, dans ce maudit bureau. Encore et encore, il entendait le déclic du percuteur, voyait le canon serré entre les dents, percevait le tremblement, la peur et la sueur. Il redoutait l’instant du coup de feu, la détonation, la tête déchiquetée, les bouts d’os souillés de matière cérébrale, le sang éclaboussant le mur et la carte géographique.
Il sentait encore l’odeur âcre de la poudre. Le nuage noir était resté en suspension dans l’air de la pièce. Comme si le temps s’était arrêté. Comme si sa propre vie avait été mise entre parenthèses depuis le drame. Il n’avait jamais oublié. Un ado ne pouvait pas oublier une telle scène.
[…] Le billet de Marie Nono sur Eunoto […]
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Oui la liste pour le père Noël s’agrandit, aurais-je été assez sage ?
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j’espère que tu l’as été suffisamment pour mériter toutes ses belles lectures à venir chère Kinou ! 😉 🙂
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Allez, un de plus que je note ! Je crois que je vais écrire au père noël…
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Tu as été sage au moins Nath ?
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Moi ????? Toujours !!!! 👼
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oooh, tu m’as l’air bien sûre de toi là !
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Heu… 🙄 oui oui, suis sûre 😎
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Bon ok je te crois sur parole alors ! 🙂
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