Le livre : Mauvais sang ne saurait mentir de Walter Kirn. Traduit de l’américain par Éric Chédaille. Paru le 15 janvier 2015 chez Bourgois ; 21€ ; (264 p.) ; 20 x 13 cm.
4e de couv :
«Ce livre éblouissant dissèque la psychopathie, les tendances perverses de la génération Internet, l’art, l’argent, et la nature même de la croyance. […] Du journalisme tabloïd sans retenue, une forme de reproche à l’Ancien Testament […] : l’abysse nous attend à la prochaine marche de l’escalier.» James Ellroy
«Walter Kirn scrute l’un des plus grands imposteurs de notre époque avec une éloquence remarquable et brillante. Au passage, il étudie aussi ses propres penchants à la tromperie, qui l’ont rendu si réceptif aux mensonges de l’autre. Une performance captivante !» Edmund White
«Il n’y a pas de guide du fou furieux américain plus raffiné que Walter Kirn. Mauvais sang ne saurait mentir est bien plus que l’histoire du soi-disant dandy et « cannibale des âmes » Clark Rockefeller. Ce livre parle du psychopathe latent qui est en chacun de nous. Le mélange de courage, d’honnêteté et d’autoanalyse de Kirn est à la fois puissant et inoubliable.» Gary Shteyngart
«Dans ce thriller psychologique intelligent basé sur des faits réels, ce faux Rockefeller est un Gatsby zombie et Walter Kirn, un Fitzgerald post-apocalyptique.» The New York Times Book Review
L’auteur : Walter Kirn, né le 3 août 1962 à Akron dans l’Ohio, est un écrivain et critique littéraire américain et essayiste. Il travaille régulièrement pour le New York Magazine. Il a étudié à Oxford et à Princeton ; ce parcours universitaire a plus tard fait l’objet de son récit autobiographique Lost in the Meritocracy. Il est l’auteur de huit livres, majoritairement des fictions, dont plusieurs ont été adaptés au cinéma : In the Air, comédie dramatique de Jason Reitman avec George Clooney (2009), et Âge difficile obscur de Mike Mills avec Keanu Reeves (2005). Ses écrits ont été publiés dans divers journaux et revues, tels que Esquire, The New Republic, The New York Times Book Review ou encore The New Yorker. Il vit dans le Montana et en Californie.
Extrait :
« A Clark vous offriez votre crédulité, la virant de votre compte personnel à celui dont vous étiez titulaire conjointement à lui. Il vous montrait un arbre creux ; vous y ajoutiez les abeilles… »
« Certains tuent par amour, d’autres pour de l’argent, mais Clark, comme j’en avais acquis la conviction, avait tué pour la littérature. Pour y prendre sa place. Pour y vivre. »
[…] Mauvais sang ne saurait mentir de Walter Kirn […]
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Nooon…Nooooon et noooooooon…je ne note pas 😦 Pffffff…trop tard….j’ai trop trop trop envie!!!!
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Mais arrêtheu !!!!! 😀
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Mais heu, ma Belette, je peux pas, je suis complètement accro. 🙂
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Alors faut passer par le désintox !! L’exorcisme, ou je sais pas quoi… mais faut soigner ça avant que je sois contaminéééééeeee !!
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Tu l’ai déjà, hahhah, (rire sardonique)
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Mhouhahahahaha ! *rire encore plus sardonique*
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Démoniaque, tu es !
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Oh, là, tu me flattes ! 😛
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Ravie de te plaire 😉
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MDR
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Héhé 😉
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