Bonsoir mes polardeux, ce soir on poursuit
La double fausse chronique sur Collectif Polar
Et je vais maintenant, après L’oeil du tsar rouge, vous parler du second opus de série, le série
« Les aventures du détective Pekkala »
Le livre : Le cercueil rouge de Sam Eastland. traduit de l’anglais (Etats-Unis) par David Fauquemberg. Paru le 10 novembre 2011 chez Anne Carrière dans la collection Thriller. 21€30. (330 p.) ; 24 x 16 cm. Réédité en poche chez Pocket
1939, Moscou.
Face à la menace de l’Allemagne nazie, Staline a placé beaucoup d’espoir dans la production du tank T-34, un monstre de trente tonnes d’acier surnommé le «Cercueil rouge» par les hommes appelés à le manoeuvrer sur les champs de bataille.
L’arme secrète n’est pas encore tout à fait opérationnelle quand son excentrique inventeur, le colonel Nagorski, est retrouvé assassiné. Staline confie l’enquête à Pekkala, son meilleur détective.
Ancien policier favori du tsar, celui-ci doit reprendre du service en faveur de l’homme qui fut autrefois son pire ennemi. Et il n’est pas le seul dont la loyauté soit mise à l’épreuve dans cette affaire : un sinistre groupe d’anciens militaires tsaristes, se faisant appeler la Confrérie blanche, semble être le commanditaire du meurtre de Nagorski.
Pekkala se retrouve obligé de traquer ses anciens alliés pour contribuer à propulser la Russie dans le conflit contre l’Allemagne.
L’auteur : Sam Eastland n’est autre que le pseudo de Paul Watkins un auteur américain. Né en 1964 de parents originaires du Pays de Galles, il a fait ses études à la Dragon School à Oxford, au Collège d’Eton et à l’Université Yale où il a obtenu son BA. Il est professeur d’histoire à la Peddie School à Hightstown, New Jersey, depuis 1989. Il vit à Hightstown, New Jersey, avec sa femme et ses deux enfants. Paul Watkins est le petit-fils d’un inspecteur de police londonien qui a servi dans la fameuse unité « Ghost Squad » de Scotland Yard dans les années 1940.
Extrait :
Officiellement, le restaurant Borodino, situé dans une rue paisible proche de la place Bolotnia à Moscou, était ouvert au public. Officieusement, son propriétaire et chef de rang, un homme au visage décharné qui répondait au nom de Chicherin, se réservait le droit de jauger d’abord tous ceux qui franchissaient la porte d’entrée aux panneaux de verre dépoli, ornés d’un décor de feuilles de pierre. Alors, soit Chicherin leur proposait une table, soit il dirigeait les clients vers un étroit couloir obscur menant, pensaient-ils, à une seconde salle à manger, de l’autre côté de la porte. En réalité, il les conduisait directement vers une allée longeant le restaurant. Le temps qu’ils comprennent ce qui leur arrivait, la porte s’était automatiquement refermée derrière eux.
Sombre histoire!
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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merci
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