Le livre : De mort lente de Michaël Mention. Paru le 11 mars 2020 aux Editions Stéphane Marsan, 20€. (400 pages) ; 22 x 15 cm
4e de couv :
Philippe vide son verre de Martini en pensant à l’Europe, aux perturbateurs endocriniens, à son épouse qu’il imagine concentrée sur ses costumes.
Dans ce monde où l’on tue, où l’on viole, où l’on empoisonne des populations pour quelques dollars de plus, il y a encore des gens qui se préoccupent de la nuance des rubans.
Ils sont partout, mais c’est un secret bien gardé. Dans votre nourriture, vos meubles, les jouets de vos enfants. Vous êtes empoisonné, mais vous ne le savez pas encore.
Tant que leur degré de toxicité ne sera pas démontré, les perturbateurs endocriniens continueront de se répandre dans notre quotidien. Il n’y a encore pas si longtemps, Marie, Nabil et leur fils étaient heureux.
Philippe était un éminent scientifique. Franck était un journaliste réputé. Désormais, ils sont tous des victimes. Aucun d’eux n’est de taille à lutter contre le puissant lobby de l’industrie chimique. Tout ce qu’ils exigent, ce sont des réponses.
Mais ils posent des questions de plus en plus gênantes…
C’est le début d’une guerre sans pitié, de Paris à Bruxelles, de la Bourse à la Commission européenne, où s’affrontent santé publique et intérêts privés.
À propos de l’auteur (2020) : Michaël Mention est Michaël Mention, né le 13 novembre 1979 à Marseille. Il est romancier et scénariste, passionné de rock et de cinéma. Il publie son premier roman en 2008 et devient une voix montante du polar avec notamment Sale temps pour le pays (Grand Prix du roman noir français au Festival international du film policier de Beaune 2013) et Fils de Sam. Suivra Et justice pour tous (prix Transfuge du meilleur espoir polar 2015), Jeudi noir, Le carnaval des hyènes et Bienvenue à Cotton’s Warwick chez Ombres Noires. Depuis, il varie les univers, de la fresque sportive au survival en passant par le polar historique. Après Power son dixième roman voici De mort lente chez Stéphane Marsan.
Extrait :
Marie appuie sa tête contre la vitre. Elle s’attendait à un autre verdict – surmenage ou carence en fer –, mais pas à ça. Certes, ce n’est pas le sida ni ce putain de cancer, qui a emporté Bashung et tant d’autres, mais cette production insuffisante d’hormones reste une saloperie. Et, s’il existe un traitement, ça ne se guérit pas. Un imprévu, avec lequel elle va devoir apprendre à vivre à partir d’aujourd’hui.
Dès que serai libérée, j’irai l’acheter ! 🙂
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tu m’étonnes !!! 🙂
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:p
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😛
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Tellement hâte de le lire !!
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Comme je le comprends chère Gwen
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Hey pas mal du tout cette petite bête là 😁😁😁
merci pour cette chronique Kris 😉
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Lucide on a envie de l’ être, mais là dans le l’ambiance actuelle, j’avoue que je verrai pour plus tard ! En tout cas merci pour ce partage 😉
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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