Le livre : La nuit du renard de Mary Higgins Clark. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Anne Damour. Sortie en 1979 chez Albin Michel. Rééditer en poche le 1er décembre 2006 chez Le Livre de Poche Thriller. 5€90. (284 p.) ; 18 x 11 cm
4e de couv
La nuit du Renard
Carley, dans le Connecticut.
Un garagiste, Arty, s’attaque à des jeune femmes qu’il viole avant de les tuer.
Il en a déjà cinq à son tableau de chasse et ne compte pas s’arrêter. Apprenant que Steve Peterson, un journaliste dont il a assassiné la femme, quelques années auparavant, dispose d’une certaine somme d’argent, il décide d’enlever son petit garçon, Neil, et sa nouvelle compagne, Sharon, afin d’exiger une rançon. Au même moment se prépare l’exécution de Ronald Thompson, injustement condamné à mort pour un meurtre qu’il n’a pas commis…
L’auteur : Mary Theresa Eleanor Higgins connue sous le nom de Mary Higgins Clark est, née le 24 décembre 1927 à New York et morte le 31 janvier 2020 à Naples en Floride. Cette écrivaine américaine s’est spécialisée dans le roman policier et le roman de suspense et le polar psychologique ce qui l’a fait surnommer la « reine du suspense ».
Extrait :
Il était assis, immobile devant la télévision dans la chambre 932 de l’hôtel Biltmore. Le réveil avait sonné à 6 heures, mais il était debout depuis longtemps. Le vent froid et sinistre qui faisait trembler les vitres l’avait sorti d’un sommeil agité.
Les actualités du matin avaient commencé, mais il n’avait pas monté le son. Ni les nouvelles ni les éditions spéciales ne l’intéressaient. Il voulait juste regarder l’interview.
Mal à l’aise sur sa chaise trop raide, il croisait et décroisait les jambes. Il s’était douché, rasé, et avait mis le costume de tergal vert qu’il portait en arrivant à l’hôtel la veille au soir. La pensée que le jour était enfin arrivé avait fait trembler sa main et il s’était légèrement coupé la lèvre en se rasant. Il saignait encore un peu, le goût salé du sang dans sa bouche lui donna un haut-le-cœur.
Il avait horreur du sang
Le post-it de Ge
La nuit du renard, le livre qui nous a fait découvrir Mary Higgins Clark
Steve se remet difficilement du meurtre de son épouse, le laissant seul avec Neil son fils traumatisé. La vie semble à nouveau lui sourire. Il tombe amoureux de Sharon, journaliste, avec qui il projette de se marier. Mais dans l’ombre, un homme risque de nuire à ses projets.
Rusé comme un renard ? Certainement. Mais aussi sadique, paranoïaque et prêt à tout – même à exécuter des innocents. Existe-t-il un lien entre le rapt de la journaliste Sharon et la mort de Nina Peterson ? Thompson est-il vraiment coupable ? Sinon, sera-t-il sauvé in extremis de la chaise électrique ? Qui est Renard ? Sera-t-il démasqué à temps pour que les innocents qu’il a enlevés soient épargnés ?
Grand prix de littérature policière, La Nuit du renard est le livre qui a révélé Mary Higgins Clark au public français. Outre son intrigue palpitante, riche en rebondissements, ce roman, à la structure efficace et originale, met en scène des personnages criants de réalisme. Les nombreux thèmes qu’il soulève (notamment la peine de mort) le rendent, à plus d’un titre, digne d’étude en classe.
Le rythme et la tension de ce roman sont véritablement hallucinants. Mary Higgins Clark crée un extraordinaire climat de terreur. Un suspense angoissant qui tient le lecteur en haleine jusqu’au dénouement… saisissant. Et le final, hallucinant , fait passer des frissons dans le dos.
Quand j’ai appris sa mort cela m’a fait bizarre, un peu comme-ci elle était éternelle et qu’il y allait avoir un rebondissement comme dans ses livres.. Elle laisse une œuvre immense !🙂
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Oui, on peut dire qu’elle a traversé les modes et les tendance sans sourciller, ne changeant rien à la formule qui fonctionnait. Elle a su renouveler ses fans au cours des décennies qu’elle a traversées.
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Je l’ai lu, il y a longtemps, mais je me souviens d’un suspense prenant!
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Tout pareil, Marie Christine
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un de mes préférés de l’auteur. Je n’ai pas commencé par celui-ci, mais par « recherche jeune-fille aimant danser » qui m’a donné envie de continuer 🙂
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Il était terrible aussi celui-là ! La clinique du dr H aussi :p
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J’ai pas souvenir d’avoir lu celui-ci, mais bon mémoire étant tellement trouée 😉
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Mon tout premier aussi et … il y a bien longtemps !
J’avais beaucoup aimé surtout pour l’ambiance glauque à souhait.
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Glauque je ne sais pas mais opprésante ça c’est certain
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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merci
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J avoue n avoir jamais lu cet auteur…
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Que de découverte à faire
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Je ne sais pas à voir… un jour..
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Il est très bon, même si pour ma part, ça n’est pas mon préféré ! Mais je l’ai lu il y a si longtemps que je le relirais bien !
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Pour moi ce fut une sacrée claque, je l’ai lu ado. 14-15 ans, alors oui une lecture marquante, c’est certain.
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J’avais plutôt 11-12 ans mais pareil, Mary m’impressionnait beaucoup !
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Moi je l’ai lu à sa sortie, ça fut un beau choc
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Z’étiez plus précoces que moi sur les polars, les filles ! À 11/12 ans, je commençais Sherlock Holmes après l’étalon noir, Flamme et le club des cinq 😆
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J’ai zappé l’étape club des 5, c’est pour ça !
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Moi pas, je les ai tous lus quasi… mon argent de poche y est passé, puis ce fut Holmes, puis Poirot.
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Rhoooo le roman policier a ruiné notre Belette ! MDR 😛
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Les livres et les bédés m’ont ruinés ! Écrivez-le sur ma tombe et faites une faute à la fin « m’ont ruiner » 😆
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11-12 ans moi c’était plutôt la SF et l’historique qui me plaisiait !
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Tu vois, tu fus plus précoce que moi !
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J’étais un peu monomaniaque à l’époque, remarque c’est pas mieux aujourd’hui
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Chassez le naturel, il revient au galop 🙂
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oui pas faut quoique depuis de nombreuses année, je ne peux plus l’être. je dois découvrir de nouvelles plumes !
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Oui, toi tu y es obligée, nous pas…
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Enfin je m’oblige toute seule parfois ! lol
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Sérieux, toi aussi ??? 😛
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ben oui, malades nous sommes, tu ne crois pas ?
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Oui, malade je suis, ça c’est sûr, je suis sous certificat, je tousse, je mouche, je crache, je renifle 😆
Niveau mental, je suis malade aussi, et là, on se rejoint toutes les deux 🙂
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viiii 😆😆😆
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Mon premier ! Je devais avoir 19/20 ans et ça avait été une claque. Je ne sais pas si ce serait toujours le cas maintenant, avec le double de… mes bougies d’anniversaire ! 😆
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Mon premier aussi c’est dans le année 70….En pleine adolescence, il y avait King pour l’horreur et MHC pour le thriller psychologique….
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Dans les années 70, j’avais au plus 4 ans ! Lorsque les 80 ont commencé, j’allais sur mes 5… 😆
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Le privilège de l’âge ma Belette, le privilège de l’âge
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Un jour, j’aurais moi aussi le privilège de l’âge :p
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On est toujours l’ainé de quelqu’un ! lol
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Un jour, j’ai été le plus jeune bébé de Belgique !
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whaou, tu as eu un diplôme pour ça ! ptdr
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Un papier encadré et affiché au mur !
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Tu déchires ma Belette
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Je déchire ma race 😆
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PTDR 😆😆😆
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