Le livre : La Vague de Todd Strasser. Traduit de l’anglais par (Etats-Unis) Aude Carlier, avant-propos Harriet Harvey Coffin. Paru le 19 février 2009 chez Pocket dans la collection Pocket Best. 6€40 ; (221 p.) ; 18 x 11 cm
4e de couv :
Cette histoire est basée sur une expérience réelle qui a eu lieu aux États-Unis dans les années 1970. Pour faire comprendre les mécanismes du nazisme à ses élèves, Ben Ross, professeur d’histoire, crée un mouvement expérimental au slogan fort : «La Force par la Discipline, la Force par la Communauté, la Force par l’Action.» En l’espace de quelques jours, l’atmosphère du paisible lycée californien se transforme en microcosme totalitaire : avec une docilité effrayante, les élèves abandonnent leur libre arbitre pour répondre aux ordres de leur nouveau leader, lui-même totalement pris par son personnage.
Quel choc pourra être assez violent pour réveiller leurs consciences et mettre fin à la démonstration ?
«Ce best-seller, qui est devenu un manuel d’histoire en Allemagne et bientôt un film, souligne qu’il est facile de se transformer en petit fasciste du jour au lendemain.» Philippe Vallet – France Info
L’auteur : Todd Strasser est né en 1950 à New York et a grandi à Long Island. Il a vécu quelques années en Europe, avant de revenir aux Etats-Unis étudier la littérature et l’écriture. Il travaille ensuite pour plusieurs journaux, écrit notamment des articles et nouvelles pour The New Yorker, The New York Times, Esquire. En 1978, il publie son premier roman Angel Dust blue. C’est en 1981 qu’il publie son La Vague (The Wave) sous le pseudonymes Morton Rhue. Il a depuis publié de nombreux romans, certains sous l’alias de T. S. Rue, qui ont été traduits dans plus d’une douzaine de langues.
Extrait :
Dans la classe où il enseignait l’histoire, Ben Ross était penché au-dessus d’un vidéo-projecteur, essayant désespérément d’insérer un film dans le labyrinthe complexe de molettes et de lentilles de l’appareil. Au bout de la quatrième tentative, il n’avait toujours pas compris comment s’y prendre. Frustré, il se passa la main dans ses cheveux châtains ondulés. Toute sa vie, il avait été démuni devant les machines – les vidéo-projecteurs, les voitures… même la pompe en self-service à la station à essence du coin le rendait fou.
Le post-it de Ge
Roman fondé sur une histoire vraie. Au lycée Palo Alto, en Californie, Ben Ross s’interroge avec ses élèves sur la facilité avec laquelle le peuple allemand a suivi Hitler et les nazis. L’enseignant décide de tenter une expérience, la vague. Il choisit sans le signaler à ses élèves d’appliquer certains principes du nazisme. Au fur et à mesure, les élèves se prennent au jeu.
La vague
L’Histoire est-elle destinée à se répéter ?
L’Histoire est-elle un éternel recommencement ?
C’est à ces questions que Todd Strasser essaie de répondre dans La Vague.
Pour faire comprendre à ses élèves l’horreur nazie, un professeur d’histoire tente dans sa classe une expérience terrifiante : la Vague.
« Si l’histoire est condamnée à se répéter, alors vous aussi, vous voudrez tous nier ce qui vous est arrivé dans la Vague. »
La Vague est basé sur une expérience qui s’est réellement passée aux États-Unis dans les années 70.
Pour faire comprendre les mécanismes du nazisme à ses élèves, Ben Ross, professeur d’histoire, crée un mouvement expérimental au slogan fort :
« La Force par la Discipline, la Force par la Communauté, la Force par l’Action ».
En l’espace de quelques jours, l’atmosphère du paisible lycée californien se transforme en microcosme totalitaire : avec une docilité effrayante, les élèves abandonnent leur libre arbitre pour répondre aux ordres de leur nouveau leader, lui-même totalement pris par son personnage.
Quel choc pourra être assez violent pour réveiller leurs consciences ?
Au lycée Gordon, il y aura un avant et un après la Vague.
La Vague est le récit hallucinant de cette expérience qui rappelle les heures les plus sombres de notre Histoire.
Oui mais cette histoire a un écho particulier aussi aujourd’hui. Nous vivons aussi des temps troubles. Une période où l’obscurantisme rôde. Et c’est assez incroyable de voir comment notre jeunesse peut se laisser berner et se voir adhérer à des idées nauséabondes. Comment un seul individu peut les pervertir . On comprend aussi mieux les mécanismes qui aujourd’hui encore fonctionnent sur nos jeunes qui s’engagent dans le djihad ! Perso j’avoue ça m’effraie et je me sens impuissante !

Ce roman a été publié aux Etats-Unis en 1981. Il a été vendu à plus d’un million d’exemplaires en Europe, et a été porté à l’écran en Allemagne, adapté au cinéma par Dennis Gansel. Publié en France il y a 10 ans, il entre directement dans les meilleures ventes. La Vague a également été adapté en roman graphique aux Éditions Jean-Claude Gawsewitch malheureusement, il est maintenant indisponible chez l’éditeur.
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Lu, adoré, approuvé ! Magnifique ! On voit bien comment tout commence à mal tourner et ma foi, ça arrivera encore ce genre de chose, ça ne s’arrête jamais, hélas
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Oui on voit aussi comment la jeunesse peut se laisser entrainer et ça raisonne avec notre époque !
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De tous temps l’Homme se laisse entrainer, jeune, adultes, vieux, hommes, femmes,…
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Et oui une espèce grégaire que les humains !
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Et crédule, avec ça !
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des moutons en sommes !
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Moutons, pigeons, vaches à lait…
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Punaise sacré bestiaire !
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Oui… et on nous baise en prime ! 😀
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Non, on avait dit pas de zoophilie ! MDR
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Pardon… 😆
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Là je ne sais pas si tu vas l’être…pardonnée !
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Pas grave, on me paiera des indulgences, ça devrait intercéder pour mon pardon 😆
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hahaha, elles sont chères les indulgences, tu sais !
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Bien entendu, si elles étaient bons marchés, ils n’auraient pas eu toute cette richesse, ces enrobés ! (mecs en robes)
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Ces enrobés, excellent, ça !
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Des types qui portent des robes et abusent de gamins (pas tous, heureusement)… et on dit des types avec une plume dans le cul pour la gay-pride !
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Là il y a confusion des genres ! Je ne peux cautionner ma Belette là !
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Justement, je préfère des homo à des pédophiles, surtout que les curés, d’après la bible, n’ont pas le droit de faire du mal aux enfants.
Mais j’ai peut-être été trop caustique et je m’en excuse. Je ne cautionne pas le pédophilie, ni les abus sur enfants, je ris de leurs robes, mais pas de ce que certains font et s’en sortent sans punition.
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J’avoue ne pas aimé ce raccourci entre homosexualité et pédophilie. Il n’y a aucun rapport mais l’amalgame et la stigmatisation sont tellement facile.
Et oui c’est bien que la parole se libère là aussi la pédophilie doit-être dénoncer avec vigueur partout où elle existe et surtout avec les adultes qui ont autorité sur les enfants. Et là l’autorité est double et morale en plus ! Protégeons les plus faible d’entre nous !!!
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Je n’aime pas ce raccourci non plus, mais des gens le font et confondent l’un avec l’autre. Mais vois-tu, ces hommes en robe stigmatisent les homosexuels alors que eux, ils font des trucs abject ! On est pour ou contre l’homosexualité, mais au final, cela reste un acte entre deux adultes consentants (rien contre le fait que deux adultes…).
Le pire, c’est qu’on protège ces curés, prêtres, qui commentent ces actes, pire, on les déplace dans une autre paroisse remplie de petits enfants !
leur autorité à diminué, mais il faut dénoncer et faut qu’ils soient punis, emprisonnés. Ils devraient balayer devant leur porte avant de porter des jugement sur des gens du même sexe qui ont décidé de se faire du bien…
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Oui c’est tellement plus simple de regarder la brindille dans l’oeil du voisin et pas voir la poutre dans le sien !
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On reporte tous les maux sur les autres et on ne balaye jamais devant sa porte…
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Voilà c’est ça !
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J’ai tout compris alors ?? Waw…. (je sors, parce que j’ai encore beaucoup à apprendre).
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hahaha, que voilà une Belette devenu sage !
Il était une fois un Sage nommé Belette…. hihi 😛
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Ça ne dure jamais longtemps 😀
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ça je sais ! Et c’est pas plus mal ainsi ! lol
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En effet ! J’ai aidé ma soeur pour tout nettoyer chez elle, elle déménage et ma mère, en apprenant que je venais l’aider lui a dit « tu ne risques pas de t’embêter ou de trouver le temps long avec ta soeur, tu vas encore bien rire » et en effet, je l’ai fait rire et elle m’a fait pouffer de rire aussi.
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C’est beau l’entraide familiale ! lol
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Tant qu’on rigole ! 😀
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Les poilades s’est important aussi !
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y’a que ça de vrai !
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pas faux ça, les poilades ça fait un bien fou !
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On devrait même en faire plus souvent !
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Oui les rendre obligatoire !
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Non, l’obligation, ça détourne les gens… pour qu’ils aient envie de le pratiquer, faut l’interdire !
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ça c’est le fonctionnement des ados ! lol
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Ben c’est souvent le fonctionnement de certains adultes aussi !! Tu donnes un conseil et bardaf, l’autre fait le contraire et se casse la gueule… je vois ça tous les jours et je soupire de lassitude…
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je soupire aussi, compatissante que je suis ! C’est lassant !
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On devra faire avec eux ! Et on va encore soupirer beaucoup 🙂
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oh que oui !
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Ah, ce livre ! un incontournable, à lire et relire
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Voilà qui fait plaisir à entendre Domi ! Je n’aurai pas dit mieux, merci 😀
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Ma fille a dû le lire pour l’école et en est restée bluffée ! Faudra que je le lise aussi un jour 😊
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Oui je pense que tu devrais le ressortir, c’est bien qu’on le fasse lire au jeune ado; mais les adulte peuvent aussi être touchée voire ahuri par cette histoire
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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Merci Françoise 😉
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Il faudrait que je le lise un jour !
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Tu devrais oui mon ami !
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