Les 10 livres qui vous ont marqué d’une façon ou d’une autre : Le Top 10 de Lou

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Pour les 2 ans de notre blog, je me suis faite curieuse. Oui je sais c’est chez moi une seconde nature dès qu’il s’agit de bouquins.

Alors je vous ai demandé quels étaient pour vous les 10 livres qui vous ont marqué(e) d’une façon ou d’une autre.

Vous avez accepté de jouez le jeu et j’en suis ravie

Voici donc quelques-unes de vos réponses.

Aujourd’hui c’est celle de Lou

Place à son TOP 10

 

 

Top 10 de mes lectures  Par ordre d’arrivée dans ma vie..

1/ Le dictionnaire… tout môme déjà… totalement addict depuis toujours. Le premier livre papier à m’avoir procuré frissons, vertiges, extases, rêves et magies. Surfer sur un mot et vois défiler les autres à sa suite. Une image, une émotion et l’histoire se déroule…

Un dictionnaire unique au monde à lire comme un roman
– L’histoire détaillée de plus de 50 000 mots du français depuis leur apparition dans la langue : les évolutions de formes, de sens, et d’usages au cours des siècles
– Des articles encyclopédiques
– 50 schémas pour retrouver la généalogie des mots

2/ Le pouvoir de choisir de Annie Marquier. Sur mon chemin à 27 ans. Il a changé ma vie, a redistribué les cartes… A lire jeune, pour se construire et faire de ses rêves une réalité de chaque instant. Puissant et bouleversant.

« Le Pouvoir de choisir » est un livre à la fois pratique et stimulant dont la pensée rigoureuse, inspirée des meilleures traditions ésotériques, est forgée par une solide connaissance psychologique de l’être humain et une observation claire et lucide du comportement humain dans le quotidien.

Il présente un concept révolutionnaire sur le plan psychologique et spirituel qui commence à émerger dans la conscience individuelle et collective.  Le concept de responsabilité-attraction-création est un nouveau paradigme qui caractérise l’émergence d’une nouvelle conscience qui se produit actuellement partout dans le monde.

3/ La Trilogie des jumeaux d’Agota Kristoff. Un choc de littérature brut. Sans concessions. Poésie des mots en prime. Une référence pour moi qui avait choisi à 35 ans de me consacrer à l’écriture. J’ai mis la barre haute et cherche encore à l’atteindre.

 

Deux enfants, des jumeaux, abandonnés à eux-mêmes dans un pays en guerre, notent jour après jour leur apprentissage de la vie. Bientôt l’un se retrouve en exil, l’autre reste dans son pays pacifié mais dominé par un régime totalitaire. Après les hostilités et la chute de la dictature, ils découvrent que la liberté n’est pas synonyme de vérité. Le grand cahier.

Edition spéciale collector épuisée.

Réunit :  Le grand cahier ; La preuve ; Le troisième mensonge

 

 

Le grand cahier 

Klaus et Lucas sont jumeaux. La ville est en guerre, et ils sont envoyés à la campagne, chez leur grand-mère. Une grand-mère affreuse, sale et méchante, qui leur mènera la vie dure. Pour surmonter cette atrocité, Klaus et Lucas vont entreprendre seuls une étrange éducation. Dans un style enfantin et cruel, chaque événement de leur existence sera consigné dans un « grand cahier ».

« Nous ne voulons plus rougir ni trembler, nous voulons nous habituer aux injures, aux mots qui blessent. »

 

 

La preuve 

Après Le grand cahier, nous retrouvons les deux héros jumeaux, séparés : l’un est en exil, l’autre est resté dans son pays pacifié mais dominé par un régime autoritaire.

Au-delà de la fable, on se livre ici à l’exploration impitoyable d’une mémoire si longtemps divisée, à l’image de l’Europe. A travers le destin séparé de Lucas et de Claus, les jumeaux du Grand Cahier, Agota Kristof nous révèle que, dans l’univers totalitaire, générosité et solidarité sont parfois plus meurtrières que le crime.

 

 

Le troisième mensonge

Après les horreurs de la guerre dans Le Grand cahier et les années noires d’un régime de plomb dans La Preuve, le temps serait-il venu d’ouvrir les yeux sur la vérité?

De l’autre côté de la frontière, la guerre est finie, la dictature est tombée. Pour vivre, pour survivre, il a fallu mentir pendant toutes ces années. Klaus et Claus T. découvrent à leurs dépens que la liberté retrouvée n’est pas synonyme de vérité. Et si leur existence était en elle-même un mensonge ?

Ainsi s’achève la trilogie inaugurée avec Le Grand Cahier, et traduite aujourd’hui dans une vingtaine de pays.

 

 

4/ La part de l’autre de Eric-Emmanuel Schmitt. Le premier livre lu de cet auteur. Bluffé par l’écriture, l’histoire, la construction. Encore un que j’aurai voulu écrire.

8 octobre 1908 : Adolf Hitler recalé.

Que se serait-il passé si l’École des beaux-arts de Vienne en avait décidé autrement ? Que serait-il arrivé si, cette minute-là, le jury avait accepté et non refusé Adolf Hitler, flatté puis épanoui ses ambitions d’artiste ?

Cette minute-là aurait changé le cours d’une vie, celle du jeune, timide et passionné Adolf Hitler, mais elle aurait aussi changé le cours du monde…

Ce volume contient en postface inédite le « Journal de La Part de l’autre ».

L’auteur propose un double roman pour une double vie. D’une part, celle du jeune Hitler qui va d’errances en échecs dans les années 1910 pour prendre finalement la tête de l’Allemagne et provoquer des millions de morts vingt ans plus tard. D’autre part, celle du jeune Adolf qui aurait pu être reçu aux Beaux-Arts et n’aurait pas eu besoin de pratiquer la politique comme un art par défaut.

5/ Tous les thrillers de Keith Ablow. Coup de cœur inconditionnel dans mes débuts de lectrice de polar. Impossible d’en choisir un spécialement.

Psychopathe

«Docteur Clevenger, Le sang des autres me couvre et me souille, pourtant mon coeur n’est pas dénué de bonté. Je n’ai pas de raison de tuer, mais je ne peux pas m’empêcher de le faire. Mon désir dévorant de la vie des autres est plus grand que l’envie de nourriture, de sexe ou de savoir. Il est irrésistible.»

Que faire lorsqu’un psychopathe croit pouvoir se délivrer de ses propres démons en provoquant les confessions de ses victimes ? Que faire face à un meurtrier insaisissable, surnommé «le tueur des autoroutes», qui élimine par empathie ses proies lorsqu’elles refusent de se confier davantage ? Un homme qui sait pourtant ouvrir en elles toutes les barrières mentales, qui pleure en les égorgeant et se conduit au quotidien comme le plus charmant des compagnons… Frank Clevenger, docteur en psychiatrie régulièrement sollicité par le FBI, se retrouve confronté à un cas particulièrement effrayant de schizophrénie. L’homme qu’il traque est un nomade, un psychiatre comme lui, un double en négatif de ce qu’il pourrait être…

Suicidaire

Une enquête du docteur Frank Clevenger

John Snow, inventeur richissime ayant tout ce dont un homme peut rêver, s’est-il réellement suicidé alors qu’il allait mettre la dernière touche à un projet qui défiait jusque-là les limites de son génie ? A-t-il réellement pu se tirer une balle en plein coeur alors qu’il avait, pour la première fois, découvert la passion d’une femme ? Pouvait-il se résoudre à finir recroquevillé dans une ruelle à quelques heures de subir de son plein gré une opération rarissime susceptible de bouleverser sa vie ? Son chirurgien hurle au meurtre. La police tergiverse. L’environnement familial demeure trouble. Une chose reste sûre : l’inventeur fascinait. Il voulait vivre et à n’importe quel prix. Ce que l’avenir lui promettait, personne ne l’aurait refusé… Personne ?

L’architecte

Clevenger ne va pas bien. Son fils adoptif lui cause de gros soucis et le FBI le contacte pour une affaire touchant de près le pouvoir américain. Des membres des familles les plus influentes, liées à la société secrète des Bonesmen issus de l’élite, sont retrouvés morts avec, à chaque fois, une partie de leur anatomie soigneusement mise au jour. Le coeur, l’oeil ou la moelle épinière y sont déployés à l’aide de clous en argent. Le tout avec une très grande dextérité et sans qu’il y ait la marque des moindres services. L’envoi de la carte d’identité de la dernière victime directement adressée à la Maison-Blanche plonge Clevenger au coeur de l’urgence. Se peut-il qu’un membre de la famille présidentielle ou le président lui-même puisse être dépecé en toute impunité ?… Pour quelle raison ? Un mot, un seul, accompagne le courrier : « Pays par pays ou famille par famille, notre oeuvre est utile et sert Dieu »…

6/ L’alchimiste de Paulo Coelho. Un bon complément à Annie Marquier qui a renforcé mes bases et mes ambitions.

Le récit d’une quête, celle de Santiago, un jeune berger andalou. Il  part pour l’Egypte, à la recherche d’un trésor apparu en songe au pied des pyramides. A l’issue d’un long et pénible voyage, lui sera révélée la vérité : ce qu’il cherchait se trouvait tout près de lui.  Dans le désert, un maître caché, va  secrètement le  guidé  tout au long de ce parcours initiatique. L’Alchimiste va l’initié. Santiago apprendra à écouter son coeur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve.  Vers sa destinée personnelle. Alors il prendra conscience de sa légende personnelle.

Le conte philosophique de P. Coelho. Merveilleux conte philosophique, souvent comparé aux classiques du genre – Le Petit Prince, Jonathan Livingstone le goéland -, ce livre, devenu un best-seller international, a valu en France le Grand Prix des lectrices de Elle à l’auteur.

Pour des millions de lecteurs dans le monde, ce livre a été une révélation : la clef d’une quête spirituelle que chacun de nous peut entreprendre, l’invitation à suivre son rêve pour y trouver sa vérité.

7/ La ligne verte de Stephen King. Lu et vu plus de 5 fois. Pour moi, l’un de ses meilleurs. Un des premiers livres qui m’a fait pleurer.

«Ca s’est passé en 1932, quand le pénitencier de l’Etat se trouvait encore à Cold Mountain. Naturellement, la chaise électrique était là. Ils en blaguaient, de la chaise, les détenus, mais comme on blague des choses qui font peur et auxquelles on ne peut échapper. Ils la surnommaient Miss Cent Mille Volts, la Veuve Courant, la Rôtisseuse.»

Dans le bloc des condamnés à mort, au bout d’un long couloir que les prisonniers appellent la ligne verte, la chaise électrique attend John Caffey. Le meurtrier des petites jumelles Detterick, jadis découvert en larmes devant leurs cadavres ensanglantés.

Paul Edgecombe, le gardien-chef, l’accueille comme les autres, sans état d’âme. Pourtant, quelque chose se trame… L’air est étouffant, la tension à son comble. Un rouage va lâcher, mais pourquoi ? Les provocations sadiques d’un maton dérangé, la présence d’une souris un peu trop curieuse, l’arrivée d’un autre condamné ?

Aux frontières du roman noir et du fantastique, ce récit est avant tout une brillante réflexion sur l’exécution capitale.

8/ Le Soleil des Scorta de Laurent Gaudé. Une claque dans le paysage de la Littérature avec un grand L. Découvert grâce à un ami il y a deux ans seulement. Depuis j’ai rattrapé mon retard et j’ai tout lu de cet auteur.

Parce qu’un viol a fondé leur lignée, les Scorta sont nés dans l’opprobre. A Montepuccio, leur petit village d’Italie du sud, ils vivent pauvrement, et ne mourront pas riches. Mais ils ont fait voeu de se transmettre, de génération en génération, le peu que la vie leur laisserait en héritage. Et en dehors du modeste bureau de tabac familial, créé avec ce qu’ils appellent « l’argent de New York », leur richesse est aussi immatérielle qu’une expérience, un souvenir, une parcelle de sagesse, une étincelle de joie. Ou encore un secret. Comme celui que la vieille Carmela – dont la voix se noue ici à la chronique objective des événements – confie à son contemporain, l’ancien curé de Montepuccio, par crainte que les mots ne viennent très vite à lui manquer.

Roman solaire, profondément humaniste, le nouveau livre de Laurent Gaudé met en scène, de 1870 à nos jours, l’existence de cette famille des Pouilles à laquelle chaque génération, chaque individualité, tente d’apporter, au gré de son propre destin, la fierté d’être un Scorta, et la révélation du bonheur.

9/ Meurtre pour rédemption de Karine Giebel. Mon chouchou dans le polar. Celui-là parce que j’aurai aimé l’avoir écrit.

Marianne, vingt ans. Les miradors comme unique perspective, les barreaux pour seul horizon. Perpétuité pour cette meurtrière. Une vie entière à écouter les grilles s’ouvrir puis se refermer. Indomptable, incapable de maîtriser la violence qui est en elle, Marianne refuse de se soumettre, de se laisser briser par l’univers carcéral sans pitié où elle affronte la haine, les coups, les humiliations. Aucun espoir de fuir cet enfer. Ou seulement dans ses rêves les plus fous. Elle qui s’évade parfois, grâce à la drogue, aux livres, au bruit des trains. Grâce à l’amitié et à la passion qui l’atteignent en plein cœur de l’enfermement. Pourtant, un jour, l’inimaginable se produit. Une porte s’ouvre. On lui propose une libération… conditionnelle.  » La liberté Marianne, tu dois en rêver chaque jour, chaque minute, non ?  » Oui. Mais le prix à payer est terrifiant. Pour elle qui n’aspire qu’à la rédemption…

10/ Petit traité de toutes vérités sur l’existence de Fred Vargas : jubilatoire ! Une pépite qui m’a inspiré « Mal Barrée », qui m’a beaucoup fait rire. Je l’ai trouvé en fouinant à la recherche de tous les livres de Vargas dont je n’étais pas rassasié.

Loin des romans policiers dont elle est la spécialiste, Fred Vargas s’essaie ici, en un court traité fort personnel, à révéler toutes les vérités de l’existence humaine… Apparences trompeuses, doute existentiel ou nécessité de l’insouciance – si de larges pans de l’histoire de la philosophie sous-tendent ces propos, ils sont pleins d’humour et d’autodérision. L’auteur, tour à tour, se met en scène, interpelle les membres de sa famille, et invite le lecteur à participer à son exposé avec allégresse.

Sur le ton de l’humour, l’auteure règle ses comptes avec autodérision. Elle offre aussi une critique de ces petits traités, livres de sagesse et autres opuscules d’art de vivre qui envahissent les librairies.

 » Comment résoudre définitivement tous les problèmes que se posent l’être humain ? Comment faire qu’il cesse d’avancer d’erreurs en fourvoiements ? Fred Vargas nous livre un petit opus d’un humour dévastateur. Où l’on comprend enfin pourquoi le bus n’arrive jamais, pourquoi le sable s’enfuit lorsqu’on le serre ou pourquoi il est bon de parler sans arrêt. Bref, ce petit traité est indispensable !  » – Le Nouvel Observateur

Bonne lecture, Lou Vernet.

 

Merci Lou de venir partager avec nous ces quelques lectures qui ont marqué ta vie à un moment donné et qui l’ont transformées d’une manière ou d’une autre. Un top qui me permet de mieux comprendre ta plume et la sensibilité qui se dégage de celle-ci !

Ah, et puis comme toi, chaque jour j’ouvre un dictionnaire au hasard et je lis la double page qui s’offre à mes yeux.

Ce matin, ce fut le Robert, d’aujourd’hui, et je suis tombée sur les mots  commençons par PRO, de prosélyte à prouver. En passant par prosterner, prostituer, protéger, protéiforme et protozoaire...

 

Je vous invite ami(e)s lecteurs zé lectrice à découvrir les livres de Lou sans tarder !

 

La toile aux alouettes

Il était une fois deux enquêteurs interlopes, une jeune fille en recherche de sens, un voisin bruyant, un gourou du web, une chef de service peau de vache, et une maman névrosée… C’est comme cela qu’elle nous la joue, Lou Vernet, avec une myriade de personnages qu’elle cisèle de sa plume efficace. Tous semblent évoluer dans des mondes parallèles jusqu’au moment où le récit bascule dans l’insondable noirceur de l’âme, entraînant le lecteur dans ses rêts. Dans La Toile aux alouettes, son premier polar, Lou Vernet manie en virtuose, l’art de la mystification. En attendant que l’Inclus et la Virgule reviennent défaire un nouvel écheveau, frissonnez avec ce premier opus, tout en ombres et lumières ! La Toile aux alouettes paraît aux Éditions Border Line.

« J’ai découvert une fin diabolique bien loin des premiers chapitres policés, qui fera hoqueter et lever les sourcils, mais qui est la signature d’un livre réussi, original, audacieux. Un livre que l’on n’oubliera pas, longtemps après l’avoir fermé. »
Maud Tabachnik, écrivain.

Allez, pour vous la chronique de La toile aux alouettes par Ge.

Mal barrée

« … On pense aussi souvent que je suis une originale, indisciplinée et contrastée, moitié chausson rose moitié chausson bleu et donc certainement pas les deux pieds dans le même sabot. Une légende d’artiste rebelle doublée d’un Donjuanisme facile et immature. Les clichés et les raccourcis ont la vie dure. Je me dois de rétablir la vérité, aussi cruelle et misérable soit-elle. Je suis bien plus binaire, tant pis pour ma réputation. Adieu Princesse. Bienvenue Mal barrée ».

 

 

 

Ne M’oublie pas

Ne M’oublie pas

C’est son rêve qui a tout déclenché.
Qui a tiré sur la ficelle du sentiment et a commencé de le déstabiliser. Son rêve et l’apparition de son père dans le miroir ont ouvert une brèche.
Les éléments par la suite n’ont fait que s’accumuler les uns derrière les autres.

24 heures dans la vie d’un photographe… Visuel

 

 

Et puis quelques autres

 

100 réflexions sur “Les 10 livres qui vous ont marqué d’une façon ou d’une autre : Le Top 10 de Lou

  1. Cette série des jumeaux, étrange pour moi.
    Eric E. Schmidt, un auteur dont j’ai beaucoup lu de livres. Celui-ci connaissant le sujet, il me semblait intéressant à découvrir. Je l’ai débuté et je l’ai fermé. Pas pu continuer. Un autre moment peut-être ? Meurtres pour rédemption était déjà dans ma liste d’envies. Quant à la ligne verte un film magnifique et sublime d’humanité. Les autres auteurs je ne les connais pas. Merci à Gé d’avoir ajouté la liste de tes livres, il y en a un qui m’attire beaucoup. 🙂

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  2. Encore des choses intéressantes: Paulo Coelho avec l’incontournable Alchimiste, La Ligne verte aussi que j’ai également beaucoup apprécié, ainsi qu’Eric-Emmanuel Schmitt. Ça me fait penser à un livre que j’ai adoré même si je ne l’ai pas mentionné dans mon top 10 c’est le roman Ensemble c’est tout d’Anna Gavalda, un hymne à l’amitié et à l’amour, en fait j’y pense souvent parce qu’il véhicule le message suivant: quoi de plus important que l’amour???

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