Le livre : Le dernier apprenti sorcier ; vol 1 ; Les rivières de Londres de Ben Aaronovitch. Traduit de l’anglais par Benoît Domis.Paru le 14 mars 2012 Aux Nouveaux Millénaires. 18€50 ; (379 p.) ; 20 x 13 cm
Réédité en poche le 5 février 2014 chez J’ai lu dans la collection J’ai lu Fantastique. 7,60 ; (413 p.) ; 18 x 11 cm
Quatrième de couverture
Les rivières de Londres
Le dernier apprenti sorcier – 1
L’agent Peter Grant ne croyait pas aux fantômes, jusqu’au jour où un étrange personnage lui affirme avoir assisté au meurtre sur lequel il enquête. Un témoin providentiel… s’il n’était mort depuis plus d’un siècle !.
Et Peter n’est pas au bout de ses surprises : recruté par l’énigmatique inspecteur Nightingale, il intègre l’unité de la police londonienne chargée des affaires surnaturelles. Au programme, traquer vampires, sorcières et autres créatures de la nuit ; faire respecter les divers accords passés entre les forces occultes de Londres ; réconcilier les divinités qui se partagent la Tamise, sans devenir esclave de leurs charmes ; et bien sûr apprendre le latin, le grec ancien et une montagne d’incantations bizarres et pour le moins rébarbatives. Peter doit en passer par là, s’il veut un jour devenir à son tour le dernier sorcier de Londres…
Unanimement salué par la critique anglo-saxonne comme la rencontre jubilatoire entre X-Files et Doctor Who, Ben Aaronovitch signe avec son premier roman, Les rivières de Londres, un brillant hommage à la capitale de tous les imaginaires.
L’auteur : Nourri à l’eau de la Tamise dès sa naissance en 1964, Ben Aaronovitch Londonien de souche, est devenu, presque du jour au lendemain, une star dans son pays avec la publication de la série du Dernier apprenti sorcier, jouissive rencontre entre Doctor Who et Sherlock. Il est aussi scénariste.
Extrait :
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, la plupart des gens ne cherchent pas réellement la bagarre, en particulier lorsque règne un équilibre entre les forces en présence. Une foule en colère mettra en pièces un individu isolé, et un homme armé d’un pistolet et d’une noble cause se fera un plaisir de tuer un maximum de femmes et d’enfants. Mais prendre le risque d’un combat à la loyale ? Pas si facile. Il n’y a qu’à observer ces ados furax quand ils se livrent à leur petit manège : « Retenez-moi ou je fais un malheur ! » disent-ils, tout en espérant farouchement que quelqu’un sera là pour leur obéir. Tout le monde est bien content de voir la police arriver, parce qu’on leur sauve la mise, que ça nous plaise ou non.
Je dois t’avouer que la référence au Dr Who ne me tente pas. .bon sang que je ne comprends pas cette série et comme je ne l’aime pas…lol
Mais bon, les idées reçues sont faites pour être abattues ☺
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Ben oh moins on peut dire que tu es large d’esprit. Et c’est déjà pas si mal par les temps qui court. Mais tu sais les ressemblances, les appartenances, ce n’est que le point de vu de celui ou celle qui l’écrit ! 😉
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Pas faux et joliment dit ☺
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Oh ! ben pas fait exprès
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J’avais bien aimé ! Drôle, amusant, délassant.
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Oui mais finalement après coup, plus profond qu’il n’y parait !
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Oui, profond… normal, à Londres, la Tamise, elle est profonde ! mdr
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Hahahahahaha mdr
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