Je suis à nouveau heureuse de retrouver Jean Luc pour nous parler d’un de nos gros coup de coeur 2012.
Le livre : Triple Crossing de Sebastian Rotella. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Anne Guitton. Paru le 5 avril 2012 chez Liana Levi dans la collection Policier. 22,50 EUR ; (439 p.) ; 21 x 14 cm
Réédité en poche
4e de couv:
Triple Crossing
Chaque nuit, sur la Ligne entre le Mexique et les États-Unis, une foule de migrants tentent leur chance. Et chaque nuit, les agents de la patrouille frontalière américaine sont là pour les refouler. Certains, sans scrupules, profitent de la faiblesse des clandestins et donnent libre cours à leurs penchants sadiques. D’autres, comme Valentin Pescatore, essaient de s’en tenir aux règles. Cela ne l’empêche pas de commettre une entorse qui pourrait lui valoir une sanction sévère, à moins de collaborer… Mais avec qui, au juste ? C’est bien les Américains qui lui demandent d’infiltrer une famille de narcos de Tijuana, mais qui peut garantir que son inexpérience ne va pas l’entraîner du côté de la corruption, de la drogue et de l’argent facile ? En tout cas, c’est ce que redoute Léo Méndez, flic mexicain aux allures de justicier… Sebastian Rotella nous conduit vers de troubles frontières dans un thriller saisissant sur la mondialisation du crime.
« Lire le remarquable roman de Sebastian Rotella c’est comme mettre des lunettes à infrarouge : vous voyez des choses dont vous ignoriez qu’elles étaient là. » The New York Times Book Review
L’auteur : Sebastian Rotella est grand reporter et vit aux États-Unis. Spécialiste des questions de terrorisme international, de crime organisé, de sécurité et d’immigration, il a été finaliste du prix Pulitzer en 2006 pour ses reportages internationaux. Triple Crossing a été doublement sélectionné par le New York Times comme meilleur premier roman et comme meilleur thriller.
Extrait :
« – Oubliez tout ce que vous savez des prisons américaines, dit Aguirre en se retournant sur son siège. Vous n’avez rien vu de pareil. Les détenus ont des armes à feu. Des enfants vivent à l’intérieur. Les capos s’y construisent des maisons avec domestiques, gardes du corps et prostituées….
– Je connais la prison, répondit Puente d’un ton neutre.
Aguirre l’ignora. »
Ça éveille ma curiosité 😉 je ne connais pas l’auteur mais l’approche géopolitique peut me plaite.
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Sur le sujet, il y a quelques bons titres que bien sur j’oublie au moment de te répondre, mais oui c’est un sujet porteur et celui-ci est parmi les meilleurs !
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merci Jean-Luc pour cette découverte ! Ta manière d’en parler titille clairement la curiosité.
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Mais dis moi Yvan, je croyais que tu me faisais confiance ?
Ce titre est un de mes 10 coups de coeur 2012 et tu ne l’as toujours pas lu ! lol 😉
Oui heureusement que Jean Luc a répondu à mon appel et qu’il aime à découvrir et commenter mes coup de coeur, lui !!!
Et en plus il le fais mieux que moi. Alors maintenant convaincu sire Yvan ?
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Bien sur que je te fais confiance ! Et je te vinaigre bien maintenant, je sais dire qu’est ce qui le plaira ou non dans très coups de coeur 😉
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Alors si tu me vinaigres bien, tout va pour le mieux, hihi 😉
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Pfff il est pas gentil mon téléphone. Non non notre relation ne tourne pas au vinaigre 😉
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Non je confirme il n’y a pas d’huile sur le feu. Ni d’eau dans le gaz. Même si je te taquine un peu. 😉
Non tout va bien surtout quand tu viens piocher des idées ici, lol 🙂
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