Le livre : Drame au Cap Gris-Nez de Christine Desrousseaux. Paru le 30 septembre 2006 chez Ravet Anceau dans la collection Polar en Nord. 7€99 (en numérique) ; (253 p.)
4e de couv :
Lucette est apprentie dans un jardin botanique situé près de Wimereux, station balnéaire où elle a emménagé seule quelques mois plus tôt. Gaëlle est étudiante en astronomie à l’institut de biologie marine. Elle a vécu à Wimereux quand elle était enfant mais n’en garde aucun souvenir car elle et son père ont très rapidement quitté la maison après la mort de sa mère. Leur rencontre est un coup de foudre pour Lucette qui est fascinée par Gaëlle, au point de vouloir la garder pour elle seule. Fascinée au point de vouloir savoir ce qui est arrivé à sa mère et à sa grand-mère, toutes deux mortes prématurément. Mais son enquête et ses questions dérangent et elle ne se rend pas compte que sa curiosité va être fatale à Gaëlle.
L’auteur : Née en 1952 à Tourcoing, a enchaîné les petits boulots avant de s’installer à Lille et de travailler en tant que conceptrice-rédactrice dans une agence de publicité. Elle pratique la lecture à voix haute dans le cadre de l’association lilloise La bocca. Dans ses préférences en littérature noire, on peut citer Patricia Highsmith, Kate Atkinson, Pete Dexter, Robin Cook, Dennis Lehanne…
Après avoir publié des livres animaliers pour enfants et des nouvelles, Christine Desrousseaux s’est consacrée à l’écriture de romans policiers. En 2000, Arrivée de la pluie par l’ouest, son premier roman, paraît aux éditions Climats : « Une intrigue au déroulement éprouvant servie dans une langue sèche et sûre. » Le Figaro Magazine.
Drame au Cap Gris-Nez a été publié en 2006 par les éditions Ravet-Anceau, suivi en 2008 par La Panthère de Sangatte. Tous deux ont pour décor la Côte d’Opale et mêlent intrigue policière et drame psychologique. Plus que l’enquête traditionnelle, ce sont les nœuds intimes des personnages qui conduisent le récit.
Son dernier livre, au-delà des eaux noires, met en scène une héroïne attachante et volontaire, évoluant dans les paysages somptueux de la baie de Canche.
Ps: Je plaisantais, je lisais la chronique car je fais la connaissance de cette auteure, Christine Desrousseaux, « En attendant la neige » et j’aime beaucoup son style!
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merci pour le lien 🙂
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J’adore cette région ! J’évite la côte Belge, trop bétonnée et trop de casse-couilles quand tu as le malheur de prononcer un mot en français… tiens, la photo dans le résumé et avis, celle avec la grande plage à marrée basse, c’est le cap Blanc-Nez… j’adore marcher sur cette plage où le matin, il n’y a que des promeneurs, des marcheurs, des joggeur et le calme !!
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Et moi et mes chiens, enfin quand je suis dans les parages 😉
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Un jour, on s’y croisera ! 😀
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Va savoir ? !!!
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Là, je te paie un verre !!
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Alors on en boira au moins deux car moi aussi je paie le mien 😉
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Tournée générale pour toi et moi !
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vi, aller hop 🙂
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Hips ! Une bière, barman !
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Non 2
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Pardon, hips, j’en voyais deux alors qu’y en avait qu’une…
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hihihi, mdr, trop picoler aussi
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Pas bon… hips…
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😉
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Pas que des casses-couilles, je vis à Ostende…J’aime me promener à des endroits qu’aucuns touristes (souvent casse-couilles, eux) ne vont:-)!
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Lorsque tu connais la ville, ou la région, tu sais ou aller pour éviter les touristes et les casseurs de couilles, mais je remarque que les touristes apprennent de plus en plus les petits coins sympas et ça débarque de partout…
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Je pense qu’il pourrait me plaire 😉
Merci pour la découverte et va pour le numérique alors!!!;)
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Et oui, c’est ici la solution 🙂
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intéressant tout ça 😉
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Oui tout en finesse et délicatesse
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